JOUR 44 : VICTORIA FALLS

14 novembre 2012

Départ tranquille ce matin pour 200kms sur un magnifique goudron.

La Zambie du Nord est restée très sauvage. Les habitants vivent dans des paillottes et les villages sont de la plus grande simplicité.

Les gens sont gais et bien portants.

La Zambie du Sud est beaucoup plus evoluée.
Les paillottes sont devenues des maisons en dur avec toujours des toits en chaume.

Les gens circulent en voiture. C'est vraiment le jour et la nuit entre le Nord et le Sud.

Il y a très peu de contrôles de police. De toute facon Nous sommes maintenant en règle avec nos bandes réflèchissantes obligatoires sur les voitures, juste des petits carres rouges à l'avant et l'argent à l'arrière, depuis l'amende d'Alain Audry (80 000 kwachas) que nous avons tous financé par esprit de solidarité. C'est ça l'esprit de groupe.

Nous arrivons à LIVINGHSTONE à 10h30 après s'être arrêté 1/2 heure car Jean Pierre le 21 a eu une durite reliant le radiateur au moteur s'est déboitée. La réparation a été assurée par Yves sous le contrôle de Dédé.

Arrivés au campement WATERFRONT, la majorité décide d'aller voir les chuttes de Victoria avec une navette.

De notre côté, nous décidons d'immortaliser cette journée en s'y rendant en hélicoptère. On ne vient pas tous les jours aux VICTORIA FALLS.

Nicole et Bernard Le Bihan, Angelo et Olga nous accompagnerons dans le même hélico pour une virée de 30mn. Nous survolerons ces magnifiques chuttes sur toutes leurs facettes.

De splendides canyons où nous plongerons au raz des rapides pour remonter ces gorges jusqu'au niveau des chuttes. C'était très palpitant. Personne ne disait mot devant cette splendeur.

Bernard n'a absolument pas regretté s'être joint à nous malgré sa réticence à ce genre d'aventure. De cette hauteur, j'ai eu la chance de voir un troupeau d'éléphants au milieu de la savane. Un regal des yeux.

Cette balade en hélico restera pour nous un point fort du voyage.

De retour au camp, nous prenons la voiture pour aller en ville farfouiller.

Nous avions repèré à notre arrivée dans la ville quelques boutiques d'artisanat.

Nous y avons trouvé ce qui va être notre souvenir fêtiche de notre Nouveau Cap 2012, une carte de l'Afrique avec des animaux sculptés le tout en bois évidemment.

De retour au camp, nous retrouverons ceux qui étaient restés à Lusaka la veille. Mais hélas la voiture de Jean Sarrat a toujours des problèmes. Tarek, le mécano Siag va certainement y passer une partie de la nuit.